La gauche n'a pas suivi.
Une fois de plus la gauche au pouvoir ouvre une autoroute au Front National.
Mais cette fois à Brignoles, la gauche ne s'est pas mobilisée et le Front est passé devant l'UMP. Deux facteurs concourent à cette élection, premièrement le raz le bol des français qui les pousse vers l'extrême, vers une solution de "rupture" avec les élus habituels, deuxièmement, une radicalisation des électeurs de droite face à la politique laxiste de la gauche.
Dans tous les cas, cela n'est pas bon pour l'UMP, même si la gauche n'est pas parvenue au second tour, l'UMP n'a pas réussi à passer au second.
Le schéma "Jospin" ne s'est pas reproduit.
S'il fallait encore démontrer que le FN est le pire ennemi de la droite traditionnelle, le scrutin de Brignoles s'en est chargé.
PhB